Le bonheur, chacun à sa propre manière de se le concevoir, de se le décrire, mais il existe plusieurs manières d’atteindre le bonheur pour chaque individu.

Le bonheur instantané comme on peut l’appeler, se trouve en prenant des produits psychotropes, ça ce nomme les paradis artificiels. On retrouve ces drogues dans plusieurs domaines voir même, dans tous. Ces personnes qui ont besoin de s’évader pendant quelques heures, en consomment pour se libérer d’un malheur ou d’une douleur quelque conque. Les consommateurs de produits illicites ont toujours une idée de liberté, d’épanouissement en consommant.

On peut retrouver le cannabis par exemple dans le domaine médical. Une personne souffrant d’un cancer, qui chaque jour fait des chimiothérapies, est dans un état sombre et douloureux, va consommer du cannabis pour se libérer, se sentir mieux et apaiser ses douleurs. Elle se procurera une sensation de bien-être et se fabriquera donc son propre bonheur durant un moment. Certes, le bonheur instantané n’est que de courte durée, mais cet individu sera heureux de ne plus avoir mal.

On a aussi l’exemple de l’adolescent qui a eu une enfance très difficile qui va se mettre à fumer du cannabis et même à en vendre, il fume pour oublier son quotidien, pour échapper à son présent qui est sombre et plein de tristesse. Encore une fois, cet adolescent va fumer car pendant un moment il va se sentir dans son paradis rien qu’à lui, pouvoir avoir droit à son bonheur.

Malgré tout, les drogues sont addictives, et on peut se retrouver à ressentir un manque si la prise est quotidienne. Et à partir de là, la forme de bonheur qui était recherchée par la personne au début va devenir très vite un cauchemar.

On pourra donc conclure que les paradis artificiel mènent bien au bonheur pour la personne qui les consomme, mais de bonheur instantané elles peuvent se transformer en dépendance et devenir un fardeau pour la personne et celle-ci n’y retrouvera plus son bonheur. Le bonheur est donc accessible par les drogues, mais il reste de courte durée et fini souvent dans la dépendance.

Manon Casier & Charlène Ribeiro